This is my freak show ! Come On!
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 Daizennosuke Inaï Emonoto

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Daizennosuke Inaï Emonoto

Daizennosuke Inaï Emonoto


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MessageSujet: Daizennosuke Inaï Emonoto   Daizennosuke Inaï Emonoto I_icon_minitimeSam 20 Juin - 10:41

Hell...Come To the Freak Show


Identity's Card:




- NOM et prénom : INAÏ EMONOTO Daizennosuke [L'appeller Daizen, avec son consentement est suffisant]
- Nom de scène: Kitoku [Signifie "Agonie" en Japonais]
- Age: 21 ans
- Nationalité: Japonais
- Sexualité :

  • [] Hétérosexuel(le)
  • [] Bisexuel(le)
  • [x] Lesbienne / Gay
  • [] Indécis(e)
- Votre personnage est-il connu ? [] OUI [x] NON
- Votre personnage :

  • [] est une célébrité connue avec une carrière indépendante
  • [x] fait partie du casting du Freak Show
  • [] travaille au manoir du Freak Show ( cuisines, ménage...)
  • [] travaille pour Kelyann ( photographe, maquilleuse, caméraman...)
  • [] est pour l'instant dans l'anonymat mais ce n'est pas dit que ça dure! ( travail au bar, à l'hôtel..)
- Métier: Strip Teaser le soir et se fait connaître le jour en temps que modèle sur son petit site internet ainsi que par le biais de "petits boulots"
- Statut:

  • [] Marié(e)
  • [x] Single
  • [] Veuf(ve)
[color=brown]Your fucking behavior

- Le caractère de votre personnage:


D'you love Die?

Daizennosuke est un être assez étrange. Pour beaucoup, il n'est pas net dans sa tête, voire même est-il très dérangé. Après tout, ce n'est pas tout le monde qui se promènera en tenue de vinyle serrée, muselière sur le visage, et menottes aux poches arrières de la combinaison tous les jours. Le jeune homme reste souvent dans son monde, cette tenue plutôt excentrique et presque effrayante aux yeux de beaucoup devant sûrement une grande chandelle à l'esprit fantasque du jeune nippon. Refermé sur lui-même dans de nombreux cas, il ne parle que très peu, et presque uniquement dans sa langue natale, bafouillant maladroitement quelques mots d'anglais ou de français, il maîtrise un peu mieux l'allemand, mais reste bien souvent enfermé dans les symphonie naturelle de son doux accent oriental. Il n'est pas ouvert sur le monde, comme beaucoup des japonais, il préfère rester dans son pays, allant même jusqu'à l'extrême limite de ne parler qu'à quelques uns de ceux qu'il considère comme des amis, ou plutôt, des partenaires de deal ou de danse... Notre jeune ami a beaucoup de mal à faire confiance en quelqu'un, d'où sa solitude presque totale. Il se méfie de tout, du croassement d'un corbeau jusqu'au sourire d'une personne face à lui, jamais il n'est rassuré, et cela le handicape énormément, mais lorsque l'on tombe dans le cercle vicieux de la paranoïa, difficile d'en sortir!

Les seuls moments où il semble que Daizennosuke change littéralement, comme devenu un autre, c'est lorsqu'il se retrouve accroché à sa longue barre de métal glacé, devant ce qu'il appelle "son publique à lui", à tester sa souplesse tel un serpent couleur de feu. Dans ce genre de moments, le soir venu, il est difficile de se dire que cet être étrange croisé plus tôt dans les sombre ruelles et coins abandonnés et malfamés, menaçant de ses plateformes et autres pics enchaîné les gens qu'il croise, puisse se montrer aussi calme, fondu dans un spectacle plutôt succulent à regarder, si l'on ose y mettre les pieds.

On ne sait pas vraiment où il loge, par ci, par là, chez une personne ou une autre au rythme de ses sorties hasardeuses à la recherche de cette petite poudre guérissant tous ses maux. Il est un animal nocturne semblant se fondre dans la plus grande discrétion lorsqu'il n'est pas sur scène, étant donné que malgré ses tenues étranges, ses coiffures hors normes et sa taille plutôt imposante parmi les foules -il dépasse le mètre quatre vingt et porte constamment des plateformes renforcées aux allures de chaussures drag queen- il est capable de se rendre presque aussi invisible qu'un fantôme ou un esprit frappeur. Malgré tout, lorsqu'il s'agit de sortir de ses ruelles sombres, sans être trop regardé, il sait aussi abandonner ses airs de hérissons, logeant ses cheveux rouges qui lui tombent plus bas que les fesses, dans un simple élastique, rangeant le vinyle pour opter pour du cuir ou même du simple tissus, le tout un peu moins serré, prenant soin de placer la muselière, et le tour est joué. Un petit caméléon perdu dans la jungle d'une ville toujours en mouvement et avides d'actualités futiles et succulentes.

Envers autrui, le jeune visual kei est très fermé, il ne parle jamais de lui et fuit constamment ce genre de conversations. Il garde en lui des secrets qui l'empêchent de fermer l'oeil la nuit, l'incitant à calmer sa peur du sombre dans une brève inspiration à la poudre blanche, pour avoir l'impression de rêver, tout en étant éveillé, pour pouvoir se libérer de ses soucis, de son appréhension à se montrer aux autres, inconnus, qui l'attendent chaque soirs, dans un coin du bar. Il s'approche très peu des autres, restant dans son coin auprès de sa guitare qui d'un simple air est capable de refléter les sentiments et les peurs cachés tout au long d'interminables journées. Et lorsqu'il se retrouve forcé de côtoyer d'autres personnes pendant quelques temps, le jeune japonais se cache derrière un masque joyeux, un sourire à en faire tomber plus d'un ou une, des blagues innocentes ou indécentes sorties pelles mêles pour détourner des conversations qu'il deviendrait trop gênant de continuer. Pour être comédien, il serait sur le bon chemin, mais faire son cinéma autrement que sous des tenues aguichantes et dans le plus calme des silences, ce n'est pas forcément son truc. Être naturel, c'est tout de même mieux que de rester comme à la guerre, caché derrière un mur blindé pour ne pas avoir à craindre les obus d'autrui!

Se cherchant lui même il ne sait pas trop où se mettre, dans quelle catégorie de personnes vivre, le bonnes personnes, ou celles qui ne servent qu'à assouvir le désir des yeux, ou celui du toucher? Il sait bien qu'à avoir atterris ainsi dans le cercle vicieux de l'addiction et de l'anorexie, il n'ira guère loin, triste destin pour un enfant qui rêvait autrefois, comme beaucoup d'enfants, de devenir une grande star... Alors, dans son petit esprit, il tente de se battre contre lui même, mais seul, on a toujours du mal a vaincre une armée, c'est impossible, alors, autant chercher de l'aide là où il peut peut-être y en avoir! En fin de compte, il reste quelqu'un de très timide, toujours un peu introverti, et souvent sous l'emprise de ce produit illicite qui guide sa maigre existence, Daizennosuke n'est pas foncièrement mauvais, pas si frigide ou animal que l'on pourrait le penser, du moment que l'on arrive à tirer de lui les secrets gardés sous clefs, et à l'éloigner cette paranoïa qui fait de notre jeune anorexique, un animal sauvage et fugitif qui doit se retrouver chaque jour enchaîné à un poteau pour être effleurer, et ainsi, trouver ce qu'il recherche partout, quelque grammes de bonheur, quelques minutes d'allégresse.

- Ce qu'il aime :
Il est difficile de savoir ce qu'aime le jeune asiatique tant il se mût dans un silence parfait, aussi, en l'observant un peu, les choses les plus frappantes peuvent tout de même être retenues. Le jeune homme apprécie les belle tenues, lorsqu'elles sont à son goût, c'est à dire, vinyle noir ou pourpre, combinaisons serrées, plateformes chaussées aux genoux, muselières de toutes sortes, les pics d'acier, les chaînes, les lentilles colorées, pour masquer son regard aussi sombre que l'ébène, en bref, tout ce qui peut se rapprocher de près ou de loin à un univers fuit par beaucoup, qu'est celui de l'ombre, celui on l'on préfère ne pas trop savoir ce qu'il s'y passe, pour éviter de se faire déguenillier ou simplement préfère-t-on se voiler la face pour ne pas y succomber!

Le jeune homme est un ferme accro à cette fine poudre blanche si illicite et pourtant si agréable à ingérer. Il serait capable de n'importe quoi pour s'en procurer, n'importe quoi... Sans limite! Rien de tel lorsque l'on est mal dans sa tête, pour ne plus penser à ses soucis, et réussir à faire semblant durant quelques instants de réaliser ses rêves! Il aime la guitare, son seul passe temps avec la photographie, cet instrument qui fidèle aux mains de son propriétaire laisse échapper des chants aux allures de plaintes traduisant le moindre désarroi, le moindre désespoir du jeune homme. Ainsi, nous vous présentons "Todeskampf" [agonie, en allemand], la guitare électrique du nippon, sans laquelle il ne va nulle part, et avec laquelle il est capable de tout.
S'il se l'accordait, il se laisserait aller aux petits plaisirs de la vie, ceux qui restent insignifiants, que l'on finit par oublier, si seulement lui, en avait un jour eu la connaissance! Une sortie entre potes? Un délire de jeunesse? Une partie de cartes? C'est quoi donc, ça se mange?

Il aime le calme le silence, observer l'horizon, et pourtant, rester seul lui fait peur, la peur sûrement, de s'éteindre sans personne à ses côtés, alors il sort, il se monte en spectacle, s'invite chez les gens pour une nuit, quitte à devoir leur offrir un petit quelque chose pour avoir un endroit où dormir sans être seul.... Ambiguë, mais c'est Kitoku, il ne faut pas chercher.
Il est capable d'aimer pas mal de choses, mais il les cache, les découvrir relève du miracle, ou simplement, d'une bonne dose de patience. L'immatériel, tel que le désir d'être vu, celui d'être regardé, comme si ce désir qu'éprouvent les enfant qui veulent toujours qu'on s'occupe d'eux avait grandi, germé, pour devenir ce qu'il est devenu, celui qui guide le jeune Visual dans ce qu'il fait, lui qui pourtant, d'un autre côté, est si discret sur sa personne, s'avère simplement aimer qu'on s'occupe de lui, qu'on ne le laisse pas seul, et ce, tout en se méfiant des autres....
Il aime aussi beaucoup les tatouages. Cela à commencé par quelques petites écailles de serpent sur la main, pour s'étendre sur ses deux bras, débordant un peu sur son torse, au gré de ses pensées, de ses idées noires, comme pour les marquer à vie, ne jamais les oublier.

Reste à simplement se souvenir que bien peu de choses peuvent lui faire vraiment plaisir, mais en cherchant un peu, il doit bien y en avoir... Quelques unes.

Ce qu'il déteste :
Le grand japonais se déteste lui-même, ce corps, sa personne salie, il se supporte pourtant tel qu'il est sans rien dire, docile comme le chien qu'on l'a habitué à être. Il ne supporte pas les mauvaises remarques et malgré sa timidité effrayée, il possède un sens de la répartie qui lui permet de balancer très facilement des ristournes cinglantes sans avoir besoin de menottes ou de fouets.
Il n'aime pas manger, et depuis le temps qu'il s'en prive, son estomac s'y est habitué, et refuse catégoriquement d'ingérer des quantités importantes de nourriture, de plus, la moitié de ce qu'il avale ne dure pas une heure dans son fragile estomac, ainsi, lorsqu'il feinte de sortir, ou de prendre l'air, il n'est généralement pas difficile de deviner ce qu'il va se passer.
Daizennosuke est quelqu'un qui ne supporte pas la compagnie de pipelettes, ou simplement de gens trop collants sur sa vie privée, ainsi, les groupies qui se scotchent à le scène où il se trouve enchaîné chaque soir, ce n'est pas par des regards enviant qu'il les accueille, mais plutôt, par des coups de dents, bien heureusement empêchés par sa muselière!
Kitoku est quelqu'un, qui, derrière ses tenues osées, ne pèse guère plus de cinquante kilogrammes, bien peu, mais cela paraît logique, et puis, au Japon, la minceur est souvent de mise, alors pourquoi s'en faire. Mais de ce fait, il n'aime pas bien rester auprès de personne possédant une carrure plus imposante que lui, car il serait alors trop facile pour ces dites personnes, de profiter de sa docilité calculée, et la force-sous sa forme la plus brute-, le jeune asiatique n'est pas vraiment aisée dans ce chemin!


Dernière édition par Daizennosuke Inaï Emonoto le Jeu 2 Juil - 8:17, édité 7 fois
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MessageSujet: Re: Daizennosuke Inaï Emonoto   Daizennosuke Inaï Emonoto I_icon_minitimeSam 20 Juin - 10:41


Tell me a story ...


BIOGRAPHIE OFFICIELLE :



    None for the moment.

BIOGRAPHIE OFFICIEUSE:






    Combien de temps faut-il pour un enfant pour se rendre compte qu'il ne serre à rien, qu'il n'est qu'un objet manipulé au gré de punitions incessantes et souvent injustifiées? Bien plus qu'il n'en faut pour le dire... A croire que l'âge de raison est bien tardif.

    Un prénom aristocratique, choisi par ses parents en plus d'un nom double, cela est déjà quelque chose de bien lourd à porter en soi, pour en plus y ajouter bleus et contusions, mais il faut bien trouver quelques bêtes a mordre pour détendre les tensions, et ainsi ne pas avoir à supporter une quelconque dispute avec l'Autre, que l'on croit encore aimer. Et puis, quelque coups par ci, un bain d'eau brûlante par là, au bout d'un moment, cela devient la routine, et on y va s'en broncher. Un enfant, cela s'adapte à un système de vie en silence, et ça n'a rien à dire de toute manière!
    Enfermé dans un coque de timidité, en cours comme à la maison, jusqu'à ses douze ans il est resté sans rien dire, prétextant que toutes les balafres qu'il portait n'étaient que les preuves de son inattention, et cela marcha, jusqu'à ce que celui qu'il considérait comme son seul ami décide de lui rapporter quelque chose qui lui appartenait, un soir, cassant ainsi en quelques secondes, tout le mal que s'était donné le jeune Daizen pour cacher son secret, l'ensevelir à la vue des gens, comme une honte, une gêne à oublier malgré sa présence. Après douze ans d'éternité à attendre que son cauchemar s'achève, tout se passa vite, sûrement trop vite aux yeux du jeune garçon qui ne comprit pas vraiment pourquoi on le privait de ses parents, ceux qu'il avait tait si longtemps pour ne pas les perdre, car ils étaient, avec son jeune ami Saki, ses seuls liens avec la société, étant donné qu'il ne parlait guère à autrui, s'enfermant dans un monde chimérique pour oublier ses maux, et transformant le monde réel en un simple cauchemar, tandis que ses pensées devenaient sa vie habituelle, il inversait les habitudes.

    Le jeune asiatique se retrouva dans une famille totalement différente, des gens gentils, qui ne pensaient qu'à une chose: lui faire plaisir. Seulement, lorsque l'on fut habitué longtemps au sens inverse, on prend garde à tout, on se méfie, et on n'apprécie pas les choses de la vie qui nous sont offerte. Ainsi, même s'il s'ouvrait légèrement sur le monde en compagnie de ces personnes, accompagné encore par ledit Saki, envers qui il avait presque entièrement confiance, et cela changeait bien du petit Daizennosuke replié sur lui-même, qui ne sortait jamais dans la cours, ou de sa chambre. Ce petit bonheur dura trois ans, quatre peut-être, durant lesquelles il pu avoir celle qu'il appelle maintenant Todeskampf, qui ne le quitte plus d'une semelle. Réapprendre à vivre, c'est l'un des grands rêves de certains, et pour le jeune nippon, il avait l'impression d le réaliser, d'avoir enfin un peu de reconnaissance, et ce, même si les cicatrise de son dos n'étaient pas prêtes de partir, et qu'il les garderait probablement à vie, il tentait de les oublier... Et cela, c'était certainement la chose à ne pas faire. Plus il repoussait ses souvenirs, plus ceux ci devenaient pesant, comme un fardeau que l'on ne cesse de remplir. Peu à peu, le jeune homme se mit à avoir peur de pas mal de choses, à se méfier de tout, jusqu'à Saki, avec qui il entretenait maintenant une relation plus que amicale. La nuit, les insomnies le rattrapaient au galop et lorsqu'il réussissait à fermer ses iris d'ébène, c'était juste pour mieux revoir le fond de cette baignoire où il avait eu l'impression de se noyer un peu plus chaque jour, durant des années.

    C'est à seize ans qu'il goûta pour la première fois à cette petite poudre blanche. On la tente une fois, deux fois, au début, juste comme ça, pour se sentir bien, un peu, pour dormir en paix, un peu, et on tient ainsi six mois, un ans. Lorsque l'on décide que ça ne va pas, qu'il faut arrêter, c'est déjà difficile, mais le pire, c'est lorsque survient la dernière chose que l'on aurait vu survenir. En effet, pour une raison qui échappe encore au jeune Kitoku, Saki disparu brutalement, une fois le sol heurté, par delà les quelques étage d'un immeuble de la capitale de leur pays natal, là où ils avaient vécu toute leur vie. Pour l'un ce fut un choc mortel, pour l'autre un énorme choc émotionnel. Pourquoi celui qui avait réussit à tirer le jeune homme de sa torpeur avait il décidé de partir ainsi avant lui? Des dizaines de questions se bousculaient dans son esprit sans qu'il veuille vraiment en avoir les réponses. Ses effort pour arrêter de consommer l'illicite, coupée ou non, furent alors vains, et au contraire, cette consommation redoublait même. Lui, il perdait du poids, lentement mais sûrement, se comparant peut-être un peu trop à certains mannequin, dans ses affabulations, et écoutant certainement un peu trop les railleries des autres, dans son dos, comme quoi rien chez lui n'était plaisant, et que c'était certainement à cause de cela que Saki s'était donné la mort, une rumeur courant comme quoi Daizen l'aurait maintenu de force avec lui, toutes ces années, alors qu'il n'en était pas du tout ainsi.

    En l'espace de six mois, il changea du tout au tout, multipliant les virées nocturne, changeant de style, se préférant dans une combinaison, à porter une muselière, sûrement pour se protéger des attaques d'autrui. Un tatouage, puis deux, puis trois vinrent se greffer sur ses bras, fluides comme des serpents, finissant par ne faire qu'un. De cheveux d'ébène, il passa au rouge sang, reflet rosés, et, comme son argent de poche ne suffisait plus à se payer cette substance sacrée dont il avait tant besoin, il aligna les petits boulots, le soir après les cours, puis lorsqu'il n'eut plus de cours, la journée. En plein jour, il s'avéra que les photographes lui trouvait un physique plutôt plaisant, attachant malgré ses vêtements étonnants, et il ne lui fallu guère de temps pour n'avoir presque plus que ça a faire. Pourtant le soir, il continuait, encore et toujours à se rendre dans ce petit bâtiment, à priori un bar, pour y faire son spectacle, à portée des mains du public, histoire d'offrir un peu de plaisir à ces personne inconnu des yeux du jeune visual, qui, une fois attaché a sa barre de fer, n'avait qu'une chose à faire, se découvrir, pour être sûr, la fin de soirée venue, d'obtenir ce qu'il cherchait.

    N'étant plus dans la maison qui l'avait recueilli, il voguait d'une chambre à l'autre, dormant parfois directement au bar, mais se débrouillant pour toujours avoir un toit au soir venu.
    Seulement, le jeune home n'est pas quelqu'un de si idiot que ça, et cela fait un moment qu'il a remarqué que son état de santé est déplorable, que s'il enlève son maquillage, il ressemble à un zombie. Sa maigreur ne fait qu'empirer au fil des jours, alors qu'il a besoin de tenir encore debout pour pouvoir aller poser le jour, devant les objetifs experts, des photographes qui l'avaient trouvé.
    Il essaie d'arrêter sa bêtise, même si c'est difficile, et se dit que peut-être, en sortant de l'ombre qui l'a si longtemps porté, il aurait plus de chances. Après tout, malgré ses problèmes de santés, et surtout, de dépendance, il possédait un certain charisme, et quelques personnes, même s'il s'agissait d'un cercle assez restreint pour le moment, semblaient tout de même l'apprécier, alors pourquoi ne pas tenter sa chance, là où elle est proposée? Même dans son monde, on regarde la télévision, et même s'il fallait voyager un peu, pourquoi pas visiter du pays, si ça peut nous sortir du pétrin? Et voilà notre gentil Daizennosuke en direction de ce qu'ils appelaient tous "Manoir", ou je ne sais trop quoi, poussé au début, presque de force par le photographe qui l'avait le plus couvé, merci monsieur, tu va peut-être le sauver du gouffre en agissant comme ça.

    Daizennosuke Inaï Emonoto Daizennosukeprs03


[b">All about you:


    1:Votre pseudo : Hikaru Of Die / Demyx
    2:Age: 16 ans le 12 juillet (siouplait, donnez moi 16 ans illico x3)
    3:Comment êtes vous arrivés ici ? Bahhhh J'ai suivit Abyby(il se reconnaîtra n'est-ce pas :p) (d'ailleurs sorry Byby Uou elle est moins jolie que b'hab ma prés TT) et puis, fallait aussi rameuter la soeur (Roxeuuuh) x3 cela allait de soi!
    4:Nom de la célébrité sur son avatar: Daisuke Andô, connu sous le Pseudonyme Die [Dir En Grey]

    [PS: désolé, c'est médiocre TxT]
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MessageSujet: Re: Daizennosuke Inaï Emonoto   Daizennosuke Inaï Emonoto I_icon_minitimeSam 20 Juin - 11:32


Bienvenue, je viens de finir de lire ton roman qui est bien sur loin d'être médiocre.
C'est une biographie très complète, une écriture assez torturée qui colle très bien au personnage charismatique.
( ça fait beaucoup d'adjectifs tout ça!)
Bien sur, tu es validé de suite.

J'ai néanmoins une petite question, peut être que c'est lié à mes yeux qui fatiguent mais quel rôle tiens tu au manoir ?
Tu t'es inscris dans la catégorie "personnel du manoir", cela fait partie des petits boulots de ton personnage ?
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MessageSujet: Re: Daizennosuke Inaï Emonoto   Daizennosuke Inaï Emonoto I_icon_minitimeSam 20 Juin - 11:37

Woups >x< Gomenasaï, pas fait exprès Xox j'ai tellement édité, sur édité, ré édité, que j'ai involontairement coché la mauvaise case X.X ...

C'est rectifié >o< (quoique, ça pourrait être une idée, personnel.... *sort* bon bon, je recommence pas promis .u. *hésite xD*)

Merci pour le compliment (*love the adjectif x3*) ^w^ (je crois bien que c'est la fiche que j'ai écrit le plus vite ._. pressée xD)

oh... bah, c'est pas bien énorme là... enfin, je dis rien x) *tente de filer discrètement avant l'arrivé d'Aby*
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MessageSujet: Re: Daizennosuke Inaï Emonoto   Daizennosuke Inaï Emonoto I_icon_minitimeSam 20 Juin - 11:39


Très bien, alors tu es validé! Hihi
bienvenue parmi nous.
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MessageSujet: Re: Daizennosuke Inaï Emonoto   Daizennosuke Inaï Emonoto I_icon_minitimeSam 20 Juin - 11:52

Je te jure Rain (elle se reconnaîtra également XD ) si te plaint encore une fois comme quoi ta fiche est moins bonne que les autres , je te jure que tu fera pas long et que je t'en colle une bonne sur le coin de nez Twisted Evil
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MessageSujet: Re: Daizennosuke Inaï Emonoto   Daizennosuke Inaï Emonoto I_icon_minitimeSam 20 Juin - 12:51

Merci encore madame Anne ^w^ (c'est quoi ce "hihi" ._. *tremble*)

Ohhh mais mon très cher 'Byby si tu fais ça, tu sera hanté par des images d eDie jusqu'à la fin de tes jours sur MSN 8D *air de sadique, portant heureusement, sa muselière x) (quoii pas le droit? x) )* et pas de seau, ni de chèvre pour toi!

*tente de faire diversion en posant Rain dans un coin, et file sur la pointe des pied en murmurant "ma fiche est moche x3"*

(je prends ça pour un bienvenue Très cher Byby, donc merci aussi =3 XD)

[Qui veut rp? ._. *se fait trèès petite xD*]
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MessageSujet: Re: Daizennosuke Inaï Emonoto   Daizennosuke Inaï Emonoto I_icon_minitimeSam 20 Juin - 14:16

Daizennosuke Inaï Emonoto est validé !!!

Histoire très complète, bien écrite, rien à redire !!!!

Hell come, bon jeu, ca va en faire un autre sacré sur le Freak Show ^^
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MessageSujet: Re: Daizennosuke Inaï Emonoto   Daizennosuke Inaï Emonoto I_icon_minitimeSam 20 Juin - 14:28

Merci bien misieur *grand sourire x3*

Owh, sacré c't'un grand mot hein! x3 *regard en coin*

(bon, pas bien de flooder, faut rp xD *sort* halala ._.)
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MessageSujet: Re: Daizennosuke Inaï Emonoto   Daizennosuke Inaï Emonoto I_icon_minitime

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